Jeux Vidéo : Avis, Comparatifs - jeux PS5, PS4 et Xbox

Si je devais décrire mon expérience avec Ghost of Tsushima: Director’s Cut en un mot, ce serait « immersion ». Le jeu original avait déjà une force évocatrice impressionnante, mais cette nouvelle édition pousse l'expérience à un autre niveau, un peu comme une version restaurée d'un vieux film culte qu'on aimait déjà mais qu'on redécouvre avec émerveillement. La dimension cinématographique est au cœur de cette œuvre, non seulement par son esthétique visuelle époustouflante, mais aussi par la manière dont elle insuffle une vie nouvelle à son monde et à ses personnages, tout en conservant un gameplay à couper le souffle. Un hommage au cinéma : entre Kurosawa et Tarantino Dès les premières minutes du Director's Cut, on se rend compte qu'on est en train de vivre une véritable expérience cinématographique. Ce qui m’a toujours fasciné dans Ghost of Tsushima, c’est son respect presque sacré pour l’héritage du cinéma japonais, et plus particulièrement pour l'œ...

Dans le paysage toujours bouillonnant du gaming, où les franchises défilent et parfois se diluent, il y a une chose que les fans de Call of Duty savent mieux que quiconque : Zombies n’est pas un simple mode de jeu. C’est une institution, un sanctuaire du chaos coopératif où se mélangent nostalgie, stratégie et cette terreur viscérale qui vous fait scruter l’écran avec la peur au ventre. Avec Black Ops 6 , Treyarch ne s’est pas contenté de revisiter cette recette immortelle. Non, ils l’ont déconstruite, la recousue, et l’ont ramenée à la vie sous une forme plus effrayante, plus complexe, et, oui, plus imprévisible que jamais. Bienvenue dans la nouvelle ère de l’apocalypse zombie. Une ambition renouvelée : le classique revisité Depuis la naissance de ce mode en 2008 avec World at War , Zombies a toujours su captiver grâce à une formule à la fois simple et implacable : survivre. Les vagues incessantes de morts-vivants, les cartes truffées de secrets, les armes délirantes… ce cocktail...